Pourquoi je consulterais un psychologue ?


Voici quelques situations à titre INDICATIF. Les motivations à rencontrer un psychologue sont quasi aussi nombreuses que de personnes concernées, car elles sont propres à chacun, spécifiques à un moment particulier…

N’hésitez pas à venir une première fois, ne serait-ce que pour mettre en lumière les besoins qui vous animent actuellement.

Pour moi ?

  • J’éprouve un sentiment de mal-être, un malaise qui s’est durablement installé, ou que je connais déjà et qui revient quelques fois, toujours plus intensément…
  • Je me sens piégé(e) dans des relations que je ne maîtrise pas, qui ne me satisfont pas, qui me rendent malade…
  • Je me sens bloqué(e) dans ma vie, en point de butée dans une situation spécifique (en amour, au travail, avec mes parents…)
  • Je viens d’apprendre que je porte une maladie. Je suis sidéré(e), choqué(e), déprimé(e)… Et je ne parviens pas à en parler avec mon entourage.
  • Je suis malade depuis longtemps. J’ai appris à vivre avec. Mais aujourd’hui je voudrais donner un sens à cette maladie. Que vient-elle m’apprendre, sur moi, sur ma vie ? Pourrait-elle évoluer dans mon corps, si j’évolue dans ma tête ?
  • Je ne comprends pas pourquoi j’ai certains comportements, c’est plus fort que moi. Je crois que ça s’appelle compulsions alimentaires, boulimie, anorexie, addictions, TOC – troubles obsessionnels compulsifs…
  • Je me sens trop stressé(e), trop nerveux(-se), trop anxieux(-se) et je voudrais m’apaiser.
  • Je suis rongé(e) par des peurs.
  • Je me pense et, on me dit trop sensible. Je contiens tout le temps mes émotions, j’en suis épuisé-e.
  • Je manque de confiance en moi. Cela m’handicape. Je voudrais ne plus fuir.
  • Actuellement, je me sens en forme. Mais je passe régulièrement par des périodes où je me sens très mal. Je ne veux pas attendre la prochaine fois, je veux comprendre et aller mieux
  • Je me sens mal dans mon couple et je veux que celui-ci aille mieux.
  • etc.

Pour un proche ?

 Je peux trouver que mon mari, ma femme, ma mère, mon père, ma sœur, mon frère ont un problème… Eh bien c’est peut-être le cas. Ou pas ! Mais moi, ça me perturbe. Si je consulte un psychologue pour ces problèmes ressentis avec un proche, c’est avant tout de moi et, de la relation que j’ai avec ce proche, que nous allons parler.

Parce que lui n’est peut-être pas demandeur d’un travail sur lui. Je peux le lui suggérer…

Mais aujourd’hui, c’est moi qui semble avoir besoin d’en parler pour ensemble avancer !

Pour notre enfant, notre adolescent ?

Il / elle ne veut plus aller à l’école, il en aurait jusqu’à la phobie.

Il / elle (re)fait pipi ou caca au lit, dans ses vêtements, alors qu’il / elle peut être propre.

Il / elle ne grandit pas comme les autres ; il / elle a un retard de développement (langage, comportement…).

Il / elle est en avance pour son âge et cela pose problème à l’école, avec ses camarades, à la maison…

Il / elle a des comportements étranges depuis que…

Il / elle ne dort pas la nuit, c’est cauchemar sur cauchemar et ça n’en finit pas.

Il / elle se soucie de tout, nous observons qu’il se rend malade pour des choses qui nous sembles insignifiantes…

Etc…

Si votre enfant persiste dans des comportements atypiques, témoignant d’un blocage, d’un mal-être, si vous observez que son développement est perturbé par un événement donné et ne semble pas s’en remettre… Venez avec lui et nous en discuterons ensemble, enfant et parents réunis, à minima la première fois.

« L’abolition de la souffrance commence lorsqu’on affronte ses propres réalités psychologiques »


Jiddu Krishnamurti